Sur la souffrance et la maladie

La guérison du paralytique

Homélie prononcée au monastère de la Transfiguration le 23 octobre 2016 en présence des soeurs du monastère et des fidèles. La traduction en grec que l’on entend en fond était réalisée à l’attention des soeurs du monastère d’Ormylia (Grèce) présentes dans l’assemblée.

Thèmes abordés

Il y a deux vocations libres dans le monde : la vie monastique et le mariage. La maladie est en quelque sorte une « vocation contrainte » (00:04:08)

L’acceptation de la maladie est une forme d’obéissance qui amène à la communion avec Dieu et avec l’Église (00:07:01)

Parallèle entre la maladie et la parabole du semeur (00:08:37)

Quelle attitude avoir lorsque la maladie nous est dévoilée (00:10:05)

Le risque d’orgueil d’aborder la maladie comme un challenge (00:12:39)

Rendre grâce à Dieu. La maladie nous amène à vivre la vie du Christ (00:16:31)

Quelle attitude doit avoir l’entourage du malade à l’annonce de la maladie (00:18:36)

Un risque à éviter : vouloir prendre sur soi la maladie de l’autre (00:22:13)

Ne pas céder à la tentation du désespoir (00:23:38)

La maladie est l’état normal du monde depuis que le péché est entré dans le monde (00:24:36)

Quelle attitude doit avoir l’entourage du malade lorsque la maladie est installée (00:27:43)

L’attitude du malade face à la maladie. Le malade est un co-passioniste : il vit sa passion en communion avec la passion du Christ (00:37:08)

La maladie peut être vue par le malade comme une interrogation de Dieu : que vas-tu faire de ta vie ? (00:41:05)

La discrétion du malade face à son entourage (00:43:17)

Sur la tentation de se plaindre (00:46:46)

Sur la prière face à la maladie (00:48:15)

Les réponses des saints face à nos prières  (00:50:23)